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KAINT Arvi : Guitariste / Chanteur du groupe de Heavy Metal Niçois TOXXIC TOYZ.

KARBICHI KHALID : Voir KHARBICHI KHALID

KAROLINE : Groupe de Hard Rock Niçois créé en 1980. après une première séparation en 1982, le groupe se reformera brievement en 1984, avec une direction artistique et un line up différent.

KAYSER Claude : membre fondateur et bassiste de SPEED QUEEN en 1977 et 1978. Il enregistre avec ce groupe deux titres pour la compilation Rock en France Vol 2.

KHARBICHI KHALID : Guitariste fondateur du groupe de Heavy Metal DYGITALS qu’il crée en 1984. Il quitte le groupe en fin 1885. à la fin des années 80 il intègre en tant que guitariste du groupe rock de Farid CHOPEL, CHOPEL AND THE KIDS. Multiinstrumentiste et chanteur, il continue depuis une carrière solo sous le nom de KHALID K.

KILLERS : Groupe de Heavy Metal Basque, fondé par Bruno DOLHEGUY. Seul groupe français des années 80 a ne jamais s’être arrêté.

KINTZ Christian : Alias Chris BADGER. Batteur / membre fondateur de SILVERTRAIN (1978-1981 / 2013 – ).

KLAXON : Groupe de Hard FM créé au début de l’année 1982. Originaire de Marseille, le groupe monte à PARIS pour des raisons professionnelles. Il se compose initialement de Johnny VAN HOOLAND (Batterie), Régis LESIEUR (Chant), Christian POLLONI (Guitares), André THUS (Claviers) et Bernard MAROCCHINO (Basse). Le 12 Mai 1982, KLAXON assure la première partie de FOREIGNER. Leur prestation leur vaut d’être remarqués par WEA. Leur premier album, « Musique dans la peau » sort cette même année. 1984 : Suite au départ de Régis LESIEUR du groupe, KLAXON recherche un nouveau chanteur et organise des auditions. Ils propose à Nina SCOTT de rejoindre le groupe.
Cette nouvelle formation sort son deuxième album « Klaxon » en 1985, ainsi que deux 45t « Cœur Blessé » et « Bats-toi » pour lequel un clip sera tourné.
1988 : KLAXON se sépare.

KOEHLER Vince : Batteur du groupe de Heavy Metal Alsacien MYSTERY BLUE depuis 1998. Ex batteur d’ALTAR et de LADYKILLER.

KRIEF Norbert : Guitariste et membre fondateur de TRUST qu’il crée en 1977 avec Bernie BONVOISIN. On le retrouve fréquemment en tant que guitariste de session où il travaille avec de grands noms de la chanson française tels que Johnny HALLIDAY ou Jean Jacques GOLDMAN. Deux guitares portent son nom: en 2002 une Fender Stratocaster, la « Nonocaster » et en 2009, une Gretsch, la « Nono Corvette G5135N ».

SHAKIN' STREET "Vampire Rock"

« VAMPIRE ROCK » de SHAKIN’ STREET était le premier album de Hard Rock français

STATUT : INTOX

SHAKIN' STREET "Vampire Rock"

« Vampire rock de shakin’ street est le premier album de hard rock francais » : On retrouve notamment cette affirmation sur le livre de Christian EUDELINE «Du Hard Rock au Metal, LES 100 ALBUMS CULTES» mais également sur divers sites consacrés au Hard & Heavy Made in France.

Cette affirmation est bien sur fausse, Malgré l’importance incontestable de SHAKIN’ STREET dans l’histoire du Hard Rock Français. « Vampire Rock » est le premier album du groupe, mais est loin d’être le premier disque de Hard Rock Français …

Les LP des VARIATIONS (« Nador », 1969 ; « Take it or leave it », 1972 ; « Moroccan Roll », 1974 ; « Café de Paris », 1975), d’OCEAN (God’s Clown, 1976), de GANAFOUL (« Saturday Night », 1977) ou de VOLCANIA (« L’agression », 1977), pour ne citer qu’eux, sont antérieurs à « Vampire Rock » qui n’est sorti qu’en février 1978.

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Pascal LOTODE – « ANTHOLOGIE DU HARD ROCK FRANCAIS … »

ANTHOLOGIE DU HARD ROCK FRANCAIS
des années 80 « Période 1977-1992 »

 Livre – 2010

cover anthohard

   Une anthologie du Hard Rock Français des années 80, couvrant la période 1977 – 1992, 360 groupes référencés, 810 pochettes, 100 Biographies … Voilà qui avait de quoi faire saliver quelqu’un qui, comme c’est mon cas, s’intéresse fortement au sujet depuis près de 29 ans et essaye de se battre pour que la scène française ait enfin la possibilité de s’exprimer.

   Un petit détail seul m’avait retenu pour ce qui était de répondre à la souscription lancée a partir de juin : Comment pouvait on faire entrer tout cela dans seulement 140 pages alors qu’a chaque fois que je m’attaque à une bio il me faut au moins une page par groupe, et le plus souvent deux ? A priori mission impossible mais, en écrivant petit et en tassant un peu, pourquoi pas ? Je décidais donc de reporter cet achat et attendais qu’un ami en ayant fait l’acquisition me prête l’objet de ma curiosité afin de me faire une idée de l’apport de ce document.

   En feuilletant rapidement l’ouvrage une première chose m’a interpellé. Parmi les 140 pages « entièrement en couleur » annoncée (en comptant comme il se doit la couverture), 12 pages sont parfaitement vierges ce qui limite le contenu réel à 128 pages.

   La préface d’Alain RICARD, pour sympathique qu’elle soit, occupe l’intégralité de la page 3 pour 23 lignes, la page 4 est vierge, le prélude rédigé par l’auteur prend la moitié de la page 5, l’autre moitié étant occupée par une photo représentant des pochettes en vrac, les pages 136 et 137, consacrées aux groupes absents et aux remerciements présentent le même choix de mise en page que la préface, peu de lignes qui occupe toute une page grâce à l’utilisation d’une taille de caractères qu’apprécieront les malvoyants et enfin la page 138 contient … 4 lignes indiquant les coordonnées du signataire de l’ouvrage.

   Cette mise en page n’a donc pas manquée de me rappeler mes années de Collège, lorsque j’écrivais gros et laissais des interlignes impensables sur mes dissertations pour essayer de cacher à mes profs le manque de contenu de mes devoirs.

   Les biographies, glanées de l’aveu même de l’auteur sur le net (en bonne partie sur France Metal Museum et 80’s French Metal, ainsi que sur les sites des groupes survivants), ne manquent certes pas d’intérêt pour ceux qui ne disposent pas de Google et d’une imprimante.

    Les erreurs et oublis figurant sur certaines d’entre elles sont bien excusables car, pour consacrer moi-même beaucoup de temps à ce travail d’archive, je sais combien il est difficile de recouper correctement les informations relatives aux line up, aux dates et même parfois aux éléments discographiques. Un peu de relecture n’aurait toutefois pas été du luxe et auraient donné un peu de crédibilité à l’ensemble.

   La partie « listing » est quant à elle relativement bien faite, indiquant pour chaque album ou single l’année, le titre, la pochette reproduite en couleur au format 2,9cm X 2,9. L’origine du groupe et le support d’origine.

   Ici encore, il est a regretter le caractère « aéré » de la mise en page qui laisse souvent plus de place aux espaces blancs qu’aux informations. De plus les photos des 45 tr promo dépourvus de pochette ainsi que le remplacement de pochettes manquantes par une image marquée « NO PHOTO » n’apportent rien au document et occupent un espace qui aurait pu permettre d’ajouter quelques groupes ou biographies.

   Au final, cette « anthologie » aurait pu se réduire à un fascicule d’à peine 80 pages et n’a pour seul intérêt que d’apporter quelques détails (origine du groupe, visuel) à la liste déjà éditée par METAL INTEGRAL dans leur « Made In France » 1978-2008. Pour 24 Euro (hors frais de port) on pouvait s’attendre à quelque chose de bien plus abouti, pour tout dire « l’addition passe mal » et un tel prix pour ce qui ressemble à un simple « copié/collé » me semble exorbitant . En ce qui me concerne j’économiserais cette somme qui sera mieux employée dans l’achat d’un album (de Hard français bien sur).